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Vingt clichés pour revivre le Jumping de Bordeaux

Bosty
Reportages jeudi 8 février 2024 Mélina Massias

Le Jumping international de Bordeaux n’a pas seulement été le théâtre des victoires de Steve Guerdat et Julien Epaillard dans les Grands Prix Coupe du monde et dominical le week-end dernier. Le parc des expositions de Bordeaux a également vu d’autres cavaliers et chevaux se distinguer. Ainsi, Harrie Smolders a continué de faire connaissance avec sa toute nouvelle recrue, l’excellent Springfield 21, tandis que Jessica Burke s’est révélée aux yeux du grand public, se classant dans les deux épreuves reines de cette cinquante et unième édition. Auteur d’un excellent week-end et qualifié pour le barrage des deux Grands Prix, Pieter Devos en a profité pour mettre en lumière l’élevage familial. Retour sur quelques moments marquants en une vingtaine d’images.

Malchanceux samedi soir avec la Selle Français Originel Dubaï du Cèdre, médaillée de bronze aux Européens de Milan et de retour dans le grand bain depuis quinze jours, Julien Epaillard a imposé un autre SFO ! Dimanche, le Normand a largement triomphé avec son produit maison, Donatello d'Auge. De quoi ravir les tribunes combles du parc des expositions de Bordeaux. © Mélina Massias

Il y a deux ans, Steve Guerdat était au fond de la vague. Désormais, il la surfe ! Cette fois, le Suisse ne s'est pas imposé avec Venard de Cerisy ou Dynamix de Bélhème, ses deux cracks, mais avec Is-Minka, une fille de Mylord Carthago appartenant à son beau-père et en laquelle il a toujours fondé beaucoup d'espoirs. À force de patience, la grise a fini par révéler tout son potentiel. © Mélina Massias

Deuxième du Grand Prix Coupe du monde, Dexter de Kerglenn n'a déjà plus grand-chose à prouver. L'étalon bai, en parfaite alchimie avec sa cavalière, Jeanne Sadran, s'est classé deuxième du Grand Prix Coupe du monde avec l'art et la manière. © Mélina Massias



Si certains ne la connaissait pas encore, Jessica Burke s'est offert une belle promotion en Gironde. Associée à Nikey HH, un fils d'Emerald van't Ruytershof, l'Irlandaise, ancienne professeure de mathématiques, s'est classé dans les deux Grands Prix du week-end. Une belle récompense pour cette jeune femme, qui a décidé de consacrer tout son temps à sa passion en 2020 et qui ne doit pas regretter sa décision compte tenu de ses excellents résultats ces derniers mois. © Mélina Massias

L'Israélienne Isabella Russekoff ne pouvait pas rêver meilleur maître d'école. Passé notamment sous les selles de David Will et Cian O'Connor, le formidable C Vier 2, d'une générosité sans égal, a tout donné à sa cavalière pour lui offrir son premier classement en Coupe du monde CSI 5*-W. De quoi lui donner le sourire en sortie de piste. © Mélina Massias

Quel week-end pour Pieter Devos ! Le Belge s'est non seulement invité au barrage des deux temps forts du week-end, terminant quatrième avec Casual DV samedi et Jarina J dimanche, mais a brillé avec deux produits de son élevage familial ! Si l'alezane Jarina J n'est pas née sur ses terres, Casual DV, sa star de tout juste neuf ans, et Primo DV, son puissant gris par Vigo d'Arsouilles, le sont. Ce dernier s'est d'ailleurs offert son classement, une dixième place dimanche matin. Plutôt pas mal comme bilan ! © Mélina Massias

Contrairement à son voisin d'écurie, le lion Navarro van het Eelshof, Inouï du Seigneur n'a pas obtenu de classement ce week-end. Qu'importe, le complice de Rik Hemeryck continue de découvrir le très haut niveau et ne déçoit pas. Malgré une incompréhension dans la deuxième étape de la Coupe du monde de sa carrière, le bai a encore montré que rien n'est trop haut pour lui. Le SBS, dont Studforlife brossait le portrait en 2022 a l'avenir devant lui. © Mélina Massias



Vu dans les épreuves jeunes chevaux d'Aix-la-Chapelle, le très démonstratif Vivantas a encore fait le show, cette fois dans la cour des grands, toujours sous la selle de l'Allemand Philipp Schulze-Topphoff. © Mélina Massias

Le public bordelais a été gâté par la présence du fantastique Sringfield 21. Révélation de la saison indoor 2022-2023 sous la selle de l'Irlandais Thomas Ryan, le fils de Stakkato Gold avait séduit les écuries Evergate de Jennifer Gates et Nayel Nassar. D'abord monté par l'Egyptien, le bai a débuté l'année en Europe, avec Harrie Smolders, qui le présentait pour la deuxième fois sur la scène internationale. © Mélina Massias

Dernier conseil de Peter Charles pour Harry Charles, en route vers le barrage du Grand Prix Coupe du monde avec son fidèle Sherlock, né Novio vd Donkhoeve. Jamais bien loin de son protégé, Georgia Ellwood n'est pas étrangère n'est pas étrangère aux récents succès du fils de Bisquet Balou van de Mispelaere. © Mélina Massias

Derniers instants de concentration pour le trio Mel Obst, Flower Girl et Marcus Ehning. © Mélina Massias

Brillants à Bordeaux, les produits de Mylord Carthago ont fait parler d'eux. Primavera, montée par la Danoise Zascha Nygaard Lill, en est l'exemple même. La petite fille de Cornet Obolensky, né Windows vh Costersveld, est le fleuron de l'élevage Elstertal et semble avoir hérité du meilleur de son père et son grand-père maternel. © Mélina Massias

Le compétitif Anglo-arabe Espri du Figuier était aussi de la partie à Bordeaux, sous la selle d'Olivier Robert, amoureux de la race. Même sans sans-faute, l'étalon de dix ans n'a pas démérité. © Mélina Massias

Enfin, les tribunes bordelaises ont aussi vibré au rythme d'autres disciplines et d'épreuves, comme lors du cross indoor, témoin du dernier parcours du formidable Boleybawn Prince, vingt ans. Le complice de Maxime Livio coulera désormais une heureuse retraite, alors même qu'il est à nouveau apparu au sommet de sa forme... en Thaïlande ! © Mélina Massias

Photo à la Une : Bosty, ici associé à la pétillante Ballerine du Vilpion, toujours adulé par le public bordelais ! © Mélina Massias