CSI*** Le Touquet
La pluie et le vent auront été de grands animateurs de l'édition 2013 du CSI*** du Touquet. Des conditions idéales pour les britaniques qui se seront mis en évidence durant l'ensemble des 4 jours de compétitions. Laura Renwick aura d'ailleurs remporté pas moins de 6 épreuves dont trois avec sa jument Reine du May (Tristan de Quelen) qui, faisant un sans-faute, a soufflé la victoire à deux reprise à Guy Williams. Celui-ci remportera néanmoins quatre victoires avec trois chevaux différents notamment dans le très spectaculaire derby où il devance les Belges Fabienne Lange sur l'étalon Bamiro (Heartbreaker) et Dominique Joassin sur Othello La Passion (Kannan).
Le soleil est revenu sur la station balnéaire pour un Grand Prix délicat où le chef de piste aura su utiliser au mieux les subtilités de la piste. Gregory Cottard, premier à s'élancer, ne peut éviter une faute avec Pept'des Elfs (Landsturm) sur le milieu du triple dans la dernière ligne qui se présentera comme l'une des grandes difficultés du parcours.
Deuxième partant, Simon Delestre fait partie des grands favoris avec Qlassic Bois Margot (L'arc de Triomphe) mais le chronomètre en décidera autrement avec un point de pénalité.
Comme Gregory Cottard, Edouard Couperie se fera piéger sur le milieu du triple avec Nectar des Roches (Cumano), tout comme Robert Breul avec Uchingo d'Esquelmes, (Chin Chin) ou encore Aymeric Azzolino avec Looping d'Elle (Carthago).
Lorsque ce n'est pas l'élément central de ce triple oxer-vertical-oxer placé juste devant l'immense tribune, c'est le premier élément qui joue des tours aux candidats, et ce à Julien Mesnil avec Perle du Marais (Diamant de Sémilly) ou encore Eric Dewulf sur Norton d'Eole (Cento) alors que Benjamin Devuler se heurtera à la sortie de ce même triple avec Quebec Tame (For Pleasure), tout comme Reynald Angot sur Palawane de Sully (Rosire).
Lorsque les cavaliers en ont fini avec le triple, c'est le haut vertical 12 de l'hôtel Mercure placé en avant dernier qui piègera Olivier Guillon avec sa nouvelle recrue Norman Pré Noir (Carthago), Pénélope Leprévost sur Nice Stephanie (Cardento) ou encore le vainqueur de l'édition 2012, José Thiry sur Cyber de l'Obstination (Chatman).
Avec son entier de 8 ans, Best of Opus Dei Z (Balou du Rouet), Dominique Joassin semblait avoir toutes les cartes en main pour rejoindre le barrage mais c'était sans compter sur le chronomètre et une seconde et demi de temps dépassé ! Le cavalier couthinois semble néanmoins avoir une monture de choix pour l'avenir.
Ils seront donc neuf pour en découdre lors du barrage. Cédric Angot est le premier à s'élancer avec l'étalon Selle Français de 8 ans Rubis de Preuilly (Diamant de Sémilly). Le couple n'est pas encore prêt pour jouer le chronomètre mais signe un nouveau sans faute mettant la pression sur leurs poursuivants en 51''53.
Daniel Neilson ne se pose pas de question avec Varo M (Pierrot) et il attaque mais la faute arrive sur l'oxer 9 placé avant l'entame de la dernière ligne !
Dayro Arroyave avait eu chaud lors du premier tour en rentrant dans le temps imparti au centième près, soit 86'00 ! L' étalon Eldorado vh Vijverhof (Thunder vd Zuuthoeve) continue son impressionnante progression et signe un nouveau magnifique sans faute en galopant : 48''88, ils prennent la tête.
« Lors du barrage, il joue encore un peu, il flotte un peu mais le cheval évolue. Il est de plus en plus en confiance. Je suis vraiment content, il est magnifique. Maintenant, il va profiter d'un mois de repos et je vais de nouveau me concentrer plus sur le cycle des jeunes chevaux. Mon prochain objectif est le CSI**** de Mons-Ghlin », expliquera le Colombien.
Pas pour très longtemps car Michel Robert revient en piste, déterminé à faire un beau résultat pour oublier son mauvais week-end à Madrid la semaine précédente. En effet, il attaque. Oh d'Eole (Kannan) répond parfaitement, signe le sans-faute et abaisse le chrono de référence à 48''12 !
« Je l'ai testée un peu la semaine dernière à Madrid mais je me suis rendu compte qu'elle était un peu en manque de concours. Ce n'était pas en ordre donc je voulais refaire un ou deux parcours avant d'aller à La Baule. Le terrain du Touquet s'y prêtait vraiment bien puisque c'est également du gazon, même si le terrain est normal.
Mais comme ce ne sont pas de trop gros obstacles, cela va encore. Je suis content car j'ai fait un bon travail avec mes deux chevaux avant d'aller à La Baule. Je tiens d'ailleurs à remercier les organisateurs car je n'avais pas prévu de venir et quand j'ai appelé dimanche soir, ils ont tout mis en ?uvre pour pouvoir m'accueillir. »
On pense que le tour est joué mais Jérome Hurel ne le voit pas de la même manière. Il serre ses courbes mais surtout utilise l'énorme galopade de Premier de Falaise (Jarnac). C'est moins démonstratif que Michel Robert … mais c'est plus efficace : 46''12 et sans faute : nouveau leader !
Difficile à battre ? Rien n'est impossible pour l'homme qui s'élance. Julien Epaillard est en action ! Tout se déroule parfaitement sur le début sinueux du tracé jusqu'à une grosse incompréhension sur le vertical 6 où Quarat de la Loge (Dollar du Murier), propre frère d'Idéal, passe à côté de l'obstacle. C'est loupé, mais c'était bien essayé. Dommage.
Mais une autre personne connaît l'adage « qui n'essaie rien n'a rien »: c'est le cavalier du roi du Maroc ! Quelques mois après avoir fait le show et amusé le public du Paris Gucci Masters, Abelkebir Ouaddar attaque plein gaz avec son incroyable étalon Quickly de Kreisker (Diamant de Sémilly). Le frère utérin des étalons Javelot et Kouros d'Helby ne se dégonfle pas et il impressionne. Galopant plein pot entre les obstacles et signant un magnifique sans faute en 46''18, c'était vraiment très proche.
« Je n'ai le cheval que depuis 6 mois. Je l'avais repéré l'an dernier lorsqu'il était sous la selle de Benjamin Robert au CSI de Dinard. Il est encore jeune et il a tout son avenir devant lui. Cette année, nous avons déjà remporté le Grand Prix*** lors du Sunshine Tour et pris une seconde place lors du Grand Prix** d'Oliva. C'est un cheval vraiment gentil avec un caractère en or et en plus il est très volontaire et respectueux.
Je tiens vraiment à remercier Marcel Rozier car c'est un monsieur à qui je dois beaucoup et qui m'a permis d'apprendre tellement de choses. C'est un très grand plaisir aujourd'hui de me retrouver sur le podium aux côtés de tels cavaliers. »
Les espoirs du champion de France, Michel Hécart, ne seront pas très longs puisque la barre du premier obstacle chute cependant, Piman de la Devinière (Diamant de Sémilly) terminera son tour sans autre embuche. « Je dois dire que j'ai surtout eu beaucoup de chance lors du premier tour car nous avons touché quelques fois mais nous étions quand même au barrage. Mon cheval regarde beaucoup le terrain, il ne veut pas avancer du tout, il n'est pas du tout devant mes jambes … et de ce fait, je me suis retrouvé un peu loin. »
Steven Whitaker est le dernier à s'élancer. Le frère de John et Michael peut compter sur l'ancienne gloire de sa fille, Locarno (Lord Calidos). Ce dernier n'a pas sauté une seule épreuve ce week-end mais aucun doute, il est prêt pour le Grand Prix. Steven Whitaker galope avec son étalon de 17 ans, c'est parfait mais pas assez rapide pour faire trembler Jérôme Hurel. 48''91, c'est la 5 ème place finale.
« En fait, je le monte depuis l'an passé car ma fille, Ellen, a démarré son propre bisness et a quitté la maison. Comme c'est un vieux cheval et qu'il a toujours été dans notre ferme, nous avons décidé qu'il y resterait. Ce sont donc deux vieux hommes ensemble !! Il a 17 ans mais est en pleine forme alors nous passons juste du bon temps ensemble.
Nous n'avons pas d'ambition particulière. Ce cheval a sauté partout dans le monde, il a traversé plusieurs fois le monde entier. Aujourd'hui, je prends juste du plaisir avec lui. La semaine dernière, nous étions premiers à partir et nous avons remporté le Grand Prix en Autriche. En fait, il ne saute plus que les Grand Prix. Il a tellement d'expérience qu'il n'a pas besoin de sauter une épreuve pour faire un warm up ou que sais-je, il saute juste le Grand Prix.
Nous avons manqué un peu de chance ici car on a un peu glissé après les deux premiers et c'était donc difficile d'obtenir un bon temps. Maintenant, je ne veux surtout pas blâmer le terrain car il a plu énormément et c'est vraiment agréable de sauter sur l'herbe. C'est un concours magnifique. »
Les semaines se suivent et se ressemblent pour le vainqueur du jour qui aligne les victoires en ce début de saison. Après avoir remporté le Grand Prix** du Jump Breul avec Warior, Jerome Hurel a remporté deux épreuves comptant pour le Longines Ranking lors du Spring Tour de Lummen, avant de remporter la semaine suivante le Grand Prix** de Sandillon avec Quartz Rouge.
De retour à Lummen pour le CSIO, il remporte la Coupe des nations avec Ohm de Pontual avant de venir enlever le Grand Prix*** ici au Touquet avec Premier de Falaise ! Cette fois, l'écurie Hurel semble prête à relever de nouveaux défis.
« Nous avons de bons moments depuis le mois d'avril. J'aimerais en effet me situer entre la quarantième et la cinquantième place du Longines Ranking en fin d'année. Cette victoire est la première victoire de Premier de Falaise. J'ai fait attention à bien soigner mes virages pour ne pas y perdre du temps et utiliser sa grande galopade car il a une très grande action.
Le soleil est revenu sur la station balnéaire pour un Grand Prix délicat où le chef de piste aura su utiliser au mieux les subtilités de la piste. Gregory Cottard, premier à s'élancer, ne peut éviter une faute avec Pept'des Elfs (Landsturm) sur le milieu du triple dans la dernière ligne qui se présentera comme l'une des grandes difficultés du parcours.
Deuxième partant, Simon Delestre fait partie des grands favoris avec Qlassic Bois Margot (L'arc de Triomphe) mais le chronomètre en décidera autrement avec un point de pénalité.
Comme Gregory Cottard, Edouard Couperie se fera piéger sur le milieu du triple avec Nectar des Roches (Cumano), tout comme Robert Breul avec Uchingo d'Esquelmes, (Chin Chin) ou encore Aymeric Azzolino avec Looping d'Elle (Carthago).
Lorsque ce n'est pas l'élément central de ce triple oxer-vertical-oxer placé juste devant l'immense tribune, c'est le premier élément qui joue des tours aux candidats, et ce à Julien Mesnil avec Perle du Marais (Diamant de Sémilly) ou encore Eric Dewulf sur Norton d'Eole (Cento) alors que Benjamin Devuler se heurtera à la sortie de ce même triple avec Quebec Tame (For Pleasure), tout comme Reynald Angot sur Palawane de Sully (Rosire).
Lorsque les cavaliers en ont fini avec le triple, c'est le haut vertical 12 de l'hôtel Mercure placé en avant dernier qui piègera Olivier Guillon avec sa nouvelle recrue Norman Pré Noir (Carthago), Pénélope Leprévost sur Nice Stephanie (Cardento) ou encore le vainqueur de l'édition 2012, José Thiry sur Cyber de l'Obstination (Chatman).
Avec son entier de 8 ans, Best of Opus Dei Z (Balou du Rouet), Dominique Joassin semblait avoir toutes les cartes en main pour rejoindre le barrage mais c'était sans compter sur le chronomètre et une seconde et demi de temps dépassé ! Le cavalier couthinois semble néanmoins avoir une monture de choix pour l'avenir.
Ils seront donc neuf pour en découdre lors du barrage. Cédric Angot est le premier à s'élancer avec l'étalon Selle Français de 8 ans Rubis de Preuilly (Diamant de Sémilly). Le couple n'est pas encore prêt pour jouer le chronomètre mais signe un nouveau sans faute mettant la pression sur leurs poursuivants en 51''53.
Daniel Neilson ne se pose pas de question avec Varo M (Pierrot) et il attaque mais la faute arrive sur l'oxer 9 placé avant l'entame de la dernière ligne !
Dayro Arroyave avait eu chaud lors du premier tour en rentrant dans le temps imparti au centième près, soit 86'00 ! L' étalon Eldorado vh Vijverhof (Thunder vd Zuuthoeve) continue son impressionnante progression et signe un nouveau magnifique sans faute en galopant : 48''88, ils prennent la tête.
« Lors du barrage, il joue encore un peu, il flotte un peu mais le cheval évolue. Il est de plus en plus en confiance. Je suis vraiment content, il est magnifique. Maintenant, il va profiter d'un mois de repos et je vais de nouveau me concentrer plus sur le cycle des jeunes chevaux. Mon prochain objectif est le CSI**** de Mons-Ghlin », expliquera le Colombien.
Pas pour très longtemps car Michel Robert revient en piste, déterminé à faire un beau résultat pour oublier son mauvais week-end à Madrid la semaine précédente. En effet, il attaque. Oh d'Eole (Kannan) répond parfaitement, signe le sans-faute et abaisse le chrono de référence à 48''12 !
« Je l'ai testée un peu la semaine dernière à Madrid mais je me suis rendu compte qu'elle était un peu en manque de concours. Ce n'était pas en ordre donc je voulais refaire un ou deux parcours avant d'aller à La Baule. Le terrain du Touquet s'y prêtait vraiment bien puisque c'est également du gazon, même si le terrain est normal.
Mais comme ce ne sont pas de trop gros obstacles, cela va encore. Je suis content car j'ai fait un bon travail avec mes deux chevaux avant d'aller à La Baule. Je tiens d'ailleurs à remercier les organisateurs car je n'avais pas prévu de venir et quand j'ai appelé dimanche soir, ils ont tout mis en ?uvre pour pouvoir m'accueillir. »
On pense que le tour est joué mais Jérome Hurel ne le voit pas de la même manière. Il serre ses courbes mais surtout utilise l'énorme galopade de Premier de Falaise (Jarnac). C'est moins démonstratif que Michel Robert … mais c'est plus efficace : 46''12 et sans faute : nouveau leader !
Difficile à battre ? Rien n'est impossible pour l'homme qui s'élance. Julien Epaillard est en action ! Tout se déroule parfaitement sur le début sinueux du tracé jusqu'à une grosse incompréhension sur le vertical 6 où Quarat de la Loge (Dollar du Murier), propre frère d'Idéal, passe à côté de l'obstacle. C'est loupé, mais c'était bien essayé. Dommage.
Mais une autre personne connaît l'adage « qui n'essaie rien n'a rien »: c'est le cavalier du roi du Maroc ! Quelques mois après avoir fait le show et amusé le public du Paris Gucci Masters, Abelkebir Ouaddar attaque plein gaz avec son incroyable étalon Quickly de Kreisker (Diamant de Sémilly). Le frère utérin des étalons Javelot et Kouros d'Helby ne se dégonfle pas et il impressionne. Galopant plein pot entre les obstacles et signant un magnifique sans faute en 46''18, c'était vraiment très proche.
« Je n'ai le cheval que depuis 6 mois. Je l'avais repéré l'an dernier lorsqu'il était sous la selle de Benjamin Robert au CSI de Dinard. Il est encore jeune et il a tout son avenir devant lui. Cette année, nous avons déjà remporté le Grand Prix*** lors du Sunshine Tour et pris une seconde place lors du Grand Prix** d'Oliva. C'est un cheval vraiment gentil avec un caractère en or et en plus il est très volontaire et respectueux.
Je tiens vraiment à remercier Marcel Rozier car c'est un monsieur à qui je dois beaucoup et qui m'a permis d'apprendre tellement de choses. C'est un très grand plaisir aujourd'hui de me retrouver sur le podium aux côtés de tels cavaliers. »
Les espoirs du champion de France, Michel Hécart, ne seront pas très longs puisque la barre du premier obstacle chute cependant, Piman de la Devinière (Diamant de Sémilly) terminera son tour sans autre embuche. « Je dois dire que j'ai surtout eu beaucoup de chance lors du premier tour car nous avons touché quelques fois mais nous étions quand même au barrage. Mon cheval regarde beaucoup le terrain, il ne veut pas avancer du tout, il n'est pas du tout devant mes jambes … et de ce fait, je me suis retrouvé un peu loin. »
Steven Whitaker est le dernier à s'élancer. Le frère de John et Michael peut compter sur l'ancienne gloire de sa fille, Locarno (Lord Calidos). Ce dernier n'a pas sauté une seule épreuve ce week-end mais aucun doute, il est prêt pour le Grand Prix. Steven Whitaker galope avec son étalon de 17 ans, c'est parfait mais pas assez rapide pour faire trembler Jérôme Hurel. 48''91, c'est la 5 ème place finale.
« En fait, je le monte depuis l'an passé car ma fille, Ellen, a démarré son propre bisness et a quitté la maison. Comme c'est un vieux cheval et qu'il a toujours été dans notre ferme, nous avons décidé qu'il y resterait. Ce sont donc deux vieux hommes ensemble !! Il a 17 ans mais est en pleine forme alors nous passons juste du bon temps ensemble.
Nous n'avons pas d'ambition particulière. Ce cheval a sauté partout dans le monde, il a traversé plusieurs fois le monde entier. Aujourd'hui, je prends juste du plaisir avec lui. La semaine dernière, nous étions premiers à partir et nous avons remporté le Grand Prix en Autriche. En fait, il ne saute plus que les Grand Prix. Il a tellement d'expérience qu'il n'a pas besoin de sauter une épreuve pour faire un warm up ou que sais-je, il saute juste le Grand Prix.
Nous avons manqué un peu de chance ici car on a un peu glissé après les deux premiers et c'était donc difficile d'obtenir un bon temps. Maintenant, je ne veux surtout pas blâmer le terrain car il a plu énormément et c'est vraiment agréable de sauter sur l'herbe. C'est un concours magnifique. »
Les semaines se suivent et se ressemblent pour le vainqueur du jour qui aligne les victoires en ce début de saison. Après avoir remporté le Grand Prix** du Jump Breul avec Warior, Jerome Hurel a remporté deux épreuves comptant pour le Longines Ranking lors du Spring Tour de Lummen, avant de remporter la semaine suivante le Grand Prix** de Sandillon avec Quartz Rouge.
De retour à Lummen pour le CSIO, il remporte la Coupe des nations avec Ohm de Pontual avant de venir enlever le Grand Prix*** ici au Touquet avec Premier de Falaise ! Cette fois, l'écurie Hurel semble prête à relever de nouveaux défis.
« Nous avons de bons moments depuis le mois d'avril. J'aimerais en effet me situer entre la quarantième et la cinquantième place du Longines Ranking en fin d'année. Cette victoire est la première victoire de Premier de Falaise. J'ai fait attention à bien soigner mes virages pour ne pas y perdre du temps et utiliser sa grande galopade car il a une très grande action.
J'avais vu le tracé de Michel et je savais que je partais pour être plus rapide … même si je ne savais pas de combien. » réagira Jérôme Hurel.
Si le seul petit bémol du concours aura été adressé au terrain jugé glissant durant le barrage, les organisateurs se montreront très rassurants en expliquant que le terrain n'a qu'un an et est encore jeune. Avec un an de plus et des racines plus profondes, l'édition 2014 est en bonne voie.