El Pintador du dieu d’Arras Z (Emerald van’t Ruytershof x Codex) a tout d’abord suscité l’intérêt des éleveurs avec 100 juments saillies cette saison, mais ses premières sorties dans le cycle classique des 4 ans n’ont pas manqué d’éveiller l’intérêt des acheteurs pour ce demi-frère du très bon Jingo du dieu d’Arras qui évolue désormais en Grand Prix et de El Matador du dieu d’Arras, tous deux également approuvés à la monte.
« J’adore ce cheval et je place énormément d’espoir en lui. En plus de l’incroyable qualité qu’il montre, il possède un caractère en or. J’aime beaucoup Emerald et j’avais décidé de l’utiliser pour tenter d’avoir son coup de postérieur. C’est déjà pour cette raison que j’avais utilisé Clinton sur sa mère mais, même si j’avais eu un très bon cheval qui réalisait 95 % de sans-faute aussi bien en jeunes chevaux que dans des épreuves ranking aujourd’hui, il n’avait pas ce passage de dos... ni ce côté spectacle. El Pintador fait beaucoup plus rêver... et cela s’est traduit directement dès sa première sortie par un incroyable engouement alors que personne ne s’était intéressé à Jingo au même âge. Néanmoins, j’avais vraiment envie de faire un partenariat avec un cavalier et mon choix numéro un était Grégory Wathelet. Mon beau-frère, Manu Casais, qui s’entend bien avec Grégory, l’a contacté et lui a proposé de venir l’essayer... » nous expliquera son naisseur Jérémy Vanhoutte.
« Lorsque j’ai reçu les vidéos, le cheval m’a tout de suite plu. Je suis tout de suite allé l’essayer et j’ai décidé d’en acquérir la moitié car je l’ai tout de suite adoré. Ce partenariat correspond bien au système que je veux mettre en place aujourd’hui avec plus d’élevage et plus de jeunes chevaux, dans l’objectif de les former pour le haut niveau. El Pintador va terminer la saison avec Vanessa Casais avant de venir quelques mois à la maison. Il repartira ensuite chez eux pour y faire la monte, comme il le fera également à 6 ans », réagira Grégory Wathelet.